Parmi les candidats du changement à l'élection présidentielle du 30
août prochain figurent des personnalités emblématiques parmi lesquelles
Casimir OYE MBA. Pourquoi vais-je voter pour cet homme ?
1. Un homme intègre
Bien que faisant partie du PDG de Bongo, "COM" est resté à ce jour un
des rares dignitaires intègres. Il y en a très peu au Gabon. Tous ceux
qui ont pillé l'Etat s'affichent à visage découvert. Ils ont investi à
l'étranger où ils ont des comptes pleins, et un peu au Gabon. OYE MBA
n'en fait pas partie.
OBSERVATION
L'intégrité ne peut pas devenir un terme relatif qui se limite à "pillé l'Etat" et ne désigner que ceux qui ont "investi à
l'étranger où ils ont des comptes pleins". Le sens 1er de ce mot c'est n'avoir jamais été corrompu. Au lieu de se limiter aux jugement de valeur sur les autres sans apporter aucune preuve, il se trouve que Cam la Classefait parti du ghota politique qu'il conspue en se disant intègre. De combien a évolué "sa richesse" de 1990 à 2009?Peut-il justifier d'un revenu juste et honorable au sens du droit de tous es biens accumulés? En tant que Premier Ministre, Ministre de la panification et du pétrole, quel rôle a-t-il joué dans la lutte contre la corruption? Dans son dernier poste, on sait comment se gèrent la documentation pétrolière, les primes de publication des résultats, entre autres...Peut-il être honnête et en conscience publier combien il a reçu et combien il a refusé???
2. Un homme humble
Tout le monde s'accorde à reconnaître en cet homme une grande humilité.
Quand tous nantis exhibent leurs possessions, envahissent les médias
d'Etat, COM vaque à ses occupations professionnelles. Il a un sens aigu
du devoir républicain, de l'honneur et de la mesure. La preuve: presque
tous les candidats s'étaient déclarés au lendemain de l'inhumation de
Bongo, Casimir OYE MBA est parmi les derniers à se positionner et ce, à
la demande pressante des populations.
OBSERVATION
Pour qui connait Cam la Classe, la modestie n'est surement pas sa première qualité. Combien de membres de sa famille ont dormichez lui avant qu'ilrentre dans la politiqueaprès son départ de la primature? N'est ce pas lui qui a parlé de camemberg alors que les gabonais se plaignaient du prix du pain? Cam la Classe, c'est l'arrogance et la prétention. Lui même ne peut pas le démentir.
3. Un modèle de compétence
Brillant intellectuel, Expert international, OYE MBA a servi avec brio
à Yaoundé comme Gouverneur de la Banque Centrale. Il y a laissé une
image très positive du Gabon. C'est avec respect et fierté que les
autres Africains prononcent ce nom. Plusieurs fois ministre d'Etat,
Premier Ministre etc...
OBSERVATION
Brillant surement. Modèle, c'est discutable. Modèle pour les enfants de nzamalighe. Pour peu qu'il veuille descendre de son piedestal où OBO lui-même (encore et toujours OBO) l'a porté depuis longtemps. Mais que ce soit la BEAC que dans les postes qui ont suivi, il n'ya jamais eu de concours. Pour certains postes, c'est même la magnanimité d'OBO qui a prévalu. Pour d'autres c'est la géopolitique. Brillant, oui. Alors quel est le bilan de la primature à ce jour? On a l'impression de ceux qui remplissent leur bureaux de diplômes mais qui ne présentent aucun projet finalisé. Rien pour marquer leur passage. Les gabonais se connaissent. Ils jugeront.
4. Un patriote
Quand, en 1990, le Gabon était au bord de la guerre civile suite aux
grèves incessantes des populations contre le régime bananier de Bongo,
Quand des Gabonais de différents partis politiques s'invectivaient dans
les rues et se battaient sur les décombres des ruines de nombreux
édifices incendiés, il n'y avait plus un seul Gabonais capable de les
apaiser, pas même Bongo insulté et banni. En ces temps, on habillait
les chiens errants des tee-shirts de Bongo. Les Gabonais qui n'avaient
plus rien à perdre l'insultaient en face. Vous imaginez la déception !
A qui avait-on fait appel pour sauver le pays de la guerre ? Eh bien on
avait fait appel à Casimir OYE MBA. Ce haut cadre fit mieux que le
pompier. Il a rétabli l'ordre, la paix sociale et le dialogue. Bongo a
pu reprendre son trône tombé par terre. Si Ali était si populaire comme
il le prétend aujourd'hui, où était-il en ces temps quand son père
était aux abois ? Quelqu'un d'autre a fait tout le travail, il débarque
come ça, comme un cheveu dans la soupe, pour en jouir. C'est trop
facile !
OBSERVATION
COM a fait son devoir de gabonais en ce temps là. Quel autre gabonais a-t-on sollicité et qui n'est pas venu. L'unanimité était totale et beaucoup de personnes y compris moi-même avions fondé trop d'espoir sur COM sans savoir qu'un morceau de bois peut rester 100 ans dans l'eau sans devenir un poisson. Il est resté lui-même 1 ans. Pas plus. Depuis cette date, il est rentré dans le moule. Dieu sait qu'il avait le temps et les moyens de faire ce qui a motivé l'engouement des gabonais à son arrivée. Il n'a rien fait. Il s'est dit "je fais comme tout le monde". Aujourd'hui, il n'a aucun mérité, aucune virginité, aucune chance de démentir la vérité qui frappe la vue de tous les gabonais nés avant 1990. Pour être complêt sur ce chapitre, c'est peut-être l'occasion de faire un bilan. on atte de lire!
5. L'homme du consensus
Le seul candidat qui soit à même de concilier les intérêts des Gabonais
et ceux des partenaires traditionnels du Gabon (dont la France) est
Casimir OYE MBA : Formé en France, francophile, instruit par les idéaux
de paix et de tolérance du défunt président Bongo, capable d'écoute, il
peut permettre à la France de retrouver son image de marque. La
victoire hypothétique d'Ali, si seulement elle venait à se produire,
ferait la joie des seuls tenants de la françafrique. Les Français du
Gabon en souffriraient à long terme, à la fois dans la chair et dans
l'âme. Il n'est pas exclu que le Gabon deviendrait un champ de bataille
pire que celui de la Côte d'Ivoire. Cet avis vaut prédiction !
OBSERVATION
Définitions particulières du mot conscensus et de la françafrique que vous avez là. Il me semble que si les choses était aussi caricaturales, on ne parlerait ni de la France, ni d'Ali. Mettre la france en confiance alors qu'on n'a pas posé l problème des intérêts français au Gabon, c'est une menace en l'air. Aller faire un tour place Beauvau ne suffit pas quand pendant qu'on est premier ministre et ministre du pétrole on n'est passoi-même en mesure de fairecomme la France et les français, privilégier les intérêts économiques du Gabon. Alors ne parlons pas comme des enfants. On sait de quoi on parle. Si CAM la Classe avait autant de charisme, la BAD ne nous aurait pas échappé et son charisme serait déjà au service de l'Afrique! Parlant de la France, moi j'aurai peur de voir un valet de la France venir à la tête du Gabon. Je suis sur que c'est l'avis de tous les gabonais.
6. L'homme du dialogue
Casimir OYE MBA est apprécié par toutes les classes sociales : vieux,
jeunes, hommes, femmes aussi bien au Gabon, dans la sous-région de
l'Afrique centrale que dans le continent. Le fameux argument "fang" que
l'on évoque à la base de sa candidature n'a jamais marché avec lui. Il
hait le tribalisme, la médiocrité et l'injustice. COM discute avec tout
le monde. D'autres qualités existent chez cet homme que de nombreux
Gabonais observent et apprécient énormément.
OBSERVATION
Parler avec les gens ne veut pas dire homme de dialogue. Ceux qui écrivent trichent mal. Ceux qui ont écrit ces pages n'ont pas posé la question à CAM lui-même. Un homme aussi intelligent, compétent et aimant autant la Francene dialogue avec personne. Il sait tout. Pire que CAM la Classe dans l'omnipotence, il n'y en pas 2. Tout le personnel de la primature, dont la plupart est encore en vie peut en témoigner. Je ne parle pas des pauvres villageois qui ont souvent regretté d'aller le voir pour lui soumettre leurs problèmes. De son temps, CAM n'a rencontré aucun syndicat, aucun groupement constitué pour parler des problèmes du pays. Lui-même peut en témoigner.
Pour toutes ces raisons,
je voterai sans faute pour CASIMIR OYE MBA. Toi aussi, si tu aimes le
Gabon, si tu veux mettre définitivement un terme à la dynastie Bongo,
va voter pour Casimir OYE MBA le 30 août 2009 !
EN CONCLUSION
Si CAM la classe avait quelque mérite dans le développement du Gabon de ces 20 dernières années tout le monde l'aurait su. Il aurait tout fait pour le faire savoir. Tout e monde lui reconnait une seule chose, c'est avoir accepté d'être membre du gouvernement après avoir été chef de celui-ci. Pour le reste, personne ne devient leader après avoir été si longtemps simple exécutant, avide de richesse et de pouvoir. Rien que pour cela, aucun gabonais qui a connu CAM premier ministre ne peut en faire un président de la république.
POUR CELA, NOUS VOTERONS Ali Bongo Ondimba QUI SAIT TRAVAILLER EN LEADER ET QUI N' EST ACCROCHE NI A L'ARGENT NI AU BIENS MATERIELS.
Source:
http://www.lepost.fr/article/2009/07/26/1635006_pourquoi-je-voterai-pour-casimir-oye-mba.html
Publié : le le 26/07/2009 à 19:49
"On a franchi la ligne rouge. Il y a des agissements intolérables (...), des manœuvres inadmissibles du gouvernement (...). Ce que cherchent mes concurrents c’est l’annulation de ma candidature. Je ne suis pas homme à renoncer", a affirmé l’ancien ministre lors d’une conférence de presse à son quartier général de Libreville.
Selon lui, le gouvernement a empêché un rassemblement de ses partisans à Libreville, a interdit l’entrée du Gabon à trois conseillers français de son équipe de campagne et a emprisonné un de ses collaborateurs pendant une nuit. Ses tournées dans des villes de l’intérieur du Gabon ont été accompagnées d’un déploiement policier destiné à faire renoncer à ses partisans de se regrouper, assure l’ex-ministre qui ajoute qu’on l’a empêché d’utiliser des salles municipales dans plusieurs villes. M. Mba Obame a précisé qu’il craignait qu’on invalide sa candidature en l’accusant de précéder le début officiel de la campagne électorale le 15 août. "Pour toutes ces raisons", il a annoncé qu’il suspendait jusqu’à cette date sa "tournée citoyenne" dans le pays. http://www.lesoleil.sn/
L’UFPDG et les femmes des partis alliés interpellent Ali Bongo Ondimba sur leurs préoccupations majeures
Libreville, 26 juillet (GABONEWS) – Les militantes et sympathisantes du Parti démocratique (PDG, au pouvoir) et celles des partis aliés, qui ont eu un échange, ce dimanche à la Cité de la démocratie de Libreville, avec le candidat de cette formation à la présidentielle anticipée du 30 août 2009, Ali Bongo Ondimba, l’ont interpellé sur leurs préoccupations notamment la protection, la promotion et l’épanouissement de la Femme gabonaise, à travers l’équité des sexes, l’éducation et la santé, la création d’emplois.
A l’entame de cette rencontre, la présidente de l’Union des femmes du Parti démocratique Gabonais (UFPDG), Angélique Ngoma, a précisé qu’Ali Bongo Ondimba représentait pour elles « le candidat de l’espoir ». La « femme gabonaise est à la croisée des chemins », a-t-elle déclaré avant d’ajouter que « nous espérons qu’avec votre avènement, à la magistrature suprême, nos préoccupations trouveront des solutions idoines ». Préoccupations qui, selon ces nombreuses femmes qui se sont données rendez-vous en masse à la Cité de la démocratie, se résument en la protection, la promotion et l’épanouissement de la Femme gabonaise, à travers l’équité des sexes, l’éducation et la santé, la création d’emplois et une meilleure redistribution du revenu national. Pour répondre, Ali Bongo Ondimba qui rappelle qu’à la tête du ministère de la Défense, il a pu relever le nombre de femmes intégrées dans ce corps à plus de 13%, a indiqué que s’il était élu, il en ferait certainement mieux et dans tous les autres secteurs d’activités dans le pays, sans toutefois omettre de situer la récompense du mérite et de l’effort. Mettant l’éducation de la femme comme l’un des piliers de son programme de société, le candidat du PDG a souligné qu’il « n’y a pas de nation au monde qui n’ait pas inscrit l’éducation de a femme au centre de ses préoccupations ». Dans le même sillage, celui qu’on appelle ‘’ABO’’ a appuyé qu’il compte par ailleurs promouvoir avec force et énergie le secteur des affaires tout en fustigeant le fait que « tous les Gabonais veuillent être des fonctionnaires ». Il a incité tous et chacun à intégrer le monde des affaires, générateur des revenus. « Il faut que les Gabonais acceptent tous les métiers générateurs de revenus », a-t-il souhaité avant de déclarer que « j’avoue que vous êtes malheureusement mal soutenues ». Le fils aîné du président Bongo Ondimba, investi il y a une semaine par le parti au pouvoir, qui brigue, contre 22 autres candidats, la magistrature suprême après le mort de son défunt père, le 8 juin dernier à Barcelone en Espagne, a formelle pris l’engagement de tenir ses promesses, une fois les urnes l’auront porté, le soir du 30 août prochain au fauteuil de président de la République. « Je m’engage, si vous m’accordez vos suffrages, à vous protéger, à garantir vos droits, en vous octroyant les places qui sont les vôtres dans notre société », a lancé le porte-étendard du Parti Démocratique Gabonais devant une foule de militants et de sympathisants dans une euphorie totale. GN/DCD/09 |
Article Publié le: 26/07/2009 à: 20:45:35 Par: Désiré Clitandre DZONTEU (Gabonews.ga) |
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