Ali Bongo Ondimba...Nzanfe Fe

Toute les informations pour bien faire votre bon choix du 30 août.

posté le 05-08-2009 à 23:43:22

Les 6 raisons de ne pas voter Cam la Classe (les observations sont de nous)

Parmi les candidats du changement à l'élection présidentielle du 30 août prochain figurent des personnalités emblématiques parmi lesquelles Casimir OYE MBA. Pourquoi vais-je voter pour cet homme ?

1. Un homme intègre

Bien que faisant partie du PDG de Bongo, "COM" est resté à ce jour un des rares dignitaires intègres. Il y en a très peu au Gabon. Tous ceux qui ont pillé l'Etat s'affichent à visage découvert. Ils ont investi à l'étranger où ils ont des comptes pleins, et un peu au Gabon. OYE MBA n'en fait pas partie.

 

OBSERVATION


L'intégrité ne peut pas devenir un terme relatif qui se limite à "pillé l'Etat" et ne désigner que ceux qui ont "investi à l'étranger où ils ont des comptes pleins". Le sens 1er de ce mot c'est n'avoir jamais été corrompu. Au lieu de se limiter aux jugement de valeur sur les autres sans apporter aucune preuve, il se trouve que Cam la Classefait parti du ghota politique qu'il conspue en se disant intègre. De combien a évolué "sa richesse" de 1990 à 2009?Peut-il justifier d'un revenu juste et honorable au sens du droit de tous es biens accumulés? En tant que Premier Ministre, Ministre de la panification et du pétrole, quel rôle a-t-il joué dans la lutte contre la corruption? Dans son dernier poste, on sait comment se gèrent la documentation pétrolière, les primes de publication des résultats, entre autres...Peut-il être honnête et en conscience publier combien il a reçu et combien il a refusé???


2. Un homme humble
Tout le monde s'accorde à reconnaître en cet homme une grande humilité. Quand tous nantis exhibent leurs possessions, envahissent les médias d'Etat, COM vaque à ses occupations professionnelles. Il a un sens aigu du devoir républicain, de l'honneur et de la mesure. La preuve: presque tous les candidats s'étaient déclarés au lendemain de l'inhumation de Bongo, Casimir OYE MBA est parmi les derniers à se positionner et ce, à la demande pressante des populations.


OBSERVATION

Pour qui connait Cam la Classe, la modestie n'est surement pas sa première qualité. Combien de membres de sa famille ont dormichez lui avant qu'ilrentre dans la politiqueaprès son départ de la primature? N'est ce pas lui qui a parlé de camemberg alors que les gabonais se plaignaient du prix du pain? Cam la Classe, c'est l'arrogance et la prétention. Lui même ne peut pas le démentir.

 

3. Un modèle de compétence
Brillant intellectuel, Expert international, OYE MBA a servi avec brio à Yaoundé comme Gouverneur de la Banque Centrale. Il y a laissé une image très positive du Gabon. C'est avec respect et fierté que les autres Africains prononcent ce nom. Plusieurs fois ministre d'Etat, Premier Ministre etc...


OBSERVATION

Brillant surement. Modèle, c'est discutable. Modèle pour les enfants de nzamalighe. Pour peu qu'il veuille descendre de son piedestal où OBO lui-même (encore et toujours OBO) l'a porté depuis longtemps. Mais que ce soit la BEAC que dans les postes qui ont suivi, il n'ya jamais eu de concours. Pour certains postes, c'est même la magnanimité d'OBO qui a prévalu. Pour d'autres c'est la géopolitique. Brillant, oui. Alors quel est le bilan de la primature à ce jour? On a l'impression de ceux qui remplissent leur bureaux de diplômes mais qui ne présentent aucun projet finalisé. Rien pour marquer leur passage. Les gabonais se connaissent. Ils jugeront.

 

4. Un patriote
Quand, en 1990, le Gabon était au bord de la guerre civile suite aux grèves incessantes des populations contre le régime bananier de Bongo, Quand des Gabonais de différents partis politiques s'invectivaient dans les rues et se battaient sur les décombres des ruines de nombreux édifices incendiés, il n'y avait plus un seul Gabonais capable de les apaiser, pas même Bongo insulté et banni. En ces temps, on habillait les chiens errants des tee-shirts de Bongo. Les Gabonais qui n'avaient plus rien à perdre l'insultaient en face. Vous imaginez la déception ! A qui avait-on fait appel pour sauver le pays de la guerre ? Eh bien on avait fait appel à Casimir OYE MBA. Ce haut cadre fit mieux que le pompier. Il a rétabli l'ordre, la paix sociale et le dialogue. Bongo a pu reprendre son trône tombé par terre. Si Ali était si populaire comme il le prétend aujourd'hui, où était-il en ces temps quand son père était aux abois ? Quelqu'un d'autre a fait tout le travail, il débarque come ça, comme un cheveu dans la soupe, pour en jouir. C'est trop facile !


OBSERVATION

COM a fait son devoir de gabonais en ce temps là. Quel autre gabonais a-t-on sollicité et qui n'est pas venu. L'unanimité était totale et beaucoup de personnes y compris moi-même avions fondé trop d'espoir sur COM sans savoir qu'un morceau de bois peut rester  100 ans dans l'eau sans devenir un poisson. Il est resté lui-même 1 ans. Pas plus. Depuis cette date, il est rentré dans le moule. Dieu sait qu'il avait le temps et les moyens de faire ce qui a motivé l'engouement des gabonais à son arrivée. Il n'a rien fait. Il s'est dit "je fais comme tout le monde". Aujourd'hui, il n'a aucun mérité, aucune virginité, aucune chance de démentir la vérité qui frappe la vue de tous les gabonais nés avant 1990. Pour être complêt sur ce chapitre, c'est peut-être l'occasion de faire un bilan. on atte de lire!

 

5. L'homme du consensus
Le seul candidat qui soit à même de concilier les intérêts des Gabonais et ceux des partenaires traditionnels du Gabon (dont la France) est Casimir OYE MBA : Formé en France, francophile, instruit par les idéaux de paix et de tolérance du défunt président Bongo, capable d'écoute, il peut permettre à la France de retrouver son image de marque. La victoire hypothétique d'Ali, si seulement elle venait à se produire, ferait la joie des seuls tenants de la françafrique. Les Français du Gabon en souffriraient à long terme, à la fois dans la chair et dans l'âme. Il n'est pas exclu que le Gabon deviendrait un champ de bataille pire que celui de la Côte d'Ivoire. Cet avis vaut prédiction !

 

OBSERVATION

Définitions particulières du mot conscensus et de la françafrique que vous avez là. Il me semble que si les choses  était aussi caricaturales, on ne parlerait ni de la France, ni d'Ali. Mettre la france en confiance alors qu'on n'a pas posé l problème des intérêts français au Gabon, c'est une menace en l'air.  Aller faire un tour place Beauvau ne suffit pas quand pendant qu'on est premier ministre et ministre du pétrole on n'est passoi-même en mesure de fairecomme la France et les français, privilégier les intérêts économiques du Gabon. Alors ne parlons pas comme des enfants. On sait de quoi on parle. Si CAM la Classe avait autant de charisme, la BAD ne nous aurait pas échappé et son charisme serait déjà au service de l'Afrique! Parlant de la France, moi j'aurai peur de voir un valet de la France venir à la tête du Gabon. Je suis sur que c'est l'avis de tous les gabonais.

 

6. L'homme du dialogue
Casimir OYE MBA est apprécié par toutes les classes sociales : vieux, jeunes, hommes, femmes aussi bien au Gabon, dans la sous-région de l'Afrique centrale que dans le continent. Le fameux argument "fang" que l'on évoque à la base de sa candidature n'a jamais marché avec lui. Il hait le tribalisme, la médiocrité et l'injustice. COM discute avec tout le monde. D'autres qualités existent chez cet homme que de nombreux Gabonais observent et apprécient énormément.

 

OBSERVATION

Parler avec les gens ne veut pas dire homme de dialogue. Ceux qui écrivent trichent mal. Ceux qui ont écrit ces pages n'ont pas posé la question à CAM lui-même. Un homme aussi intelligent, compétent et aimant autant la Francene dialogue avec personne. Il sait tout. Pire que CAM la Classe dans l'omnipotence, il n'y en pas 2. Tout le personnel de la primature, dont la plupart est encore en vie peut en témoigner. Je ne parle pas des pauvres villageois qui ont souvent regretté d'aller le voir pour lui soumettre leurs problèmes. De son temps, CAM n'a rencontré aucun syndicat, aucun groupement constitué pour parler des problèmes du pays. Lui-même peut en témoigner.

 

Pour toutes ces raisons, je voterai sans faute pour CASIMIR OYE MBA. Toi aussi, si tu aimes le Gabon, si tu veux mettre définitivement un terme à la dynastie Bongo, va voter pour Casimir OYE MBA le 30 août 2009 !

 

EN CONCLUSION

Si CAM la classe avait quelque mérite dans le développement du Gabon de ces 20 dernières années tout le monde l'aurait su. Il aurait tout fait pour le faire savoir. Tout e monde lui reconnait une seule chose, c'est avoir accepté d'être membre du gouvernement après avoir été chef de celui-ci. Pour le reste, personne ne devient leader après avoir été si longtemps simple exécutant, avide de richesse et de pouvoir. Rien que pour cela, aucun gabonais qui a connu CAM premier ministre ne peut en faire un président de la république.

 

POUR CELA, NOUS VOTERONS Ali Bongo Ondimba QUI SAIT TRAVAILLER EN LEADER ET QUI N' EST ACCROCHE NI A L'ARGENT NI AU BIENS MATERIELS.

 

Source:

http://www.lepost.fr/article/2009/07/26/1635006_pourquoi-je-voterai-pour-casimir-oye-mba.html


Publié : le le 26/07/2009 à 19:49

 


 
 
posté le 05-08-2009 à 14:49:52

Mba Obame aux abois. Comme Mba Abessole et Mamboundou il y'a quelques années

Propos liminaire de André Mba Obame
Conférence de presse du 04 août 2009


Le 17 juillet dernier, j'ai annoncé depuis Barcelone en Espagne que j'étais candidat à l'élection présidentielle du 30 août 2009 pour succéder à feu le Président Omar Bongo Ondimba.

Le 19 juillet 2009, j'ai été le premier surpris par l'accueil enthousiaste que les Gabonais, par milliers, m'ont réservé à l'aéroport Léon Mba de Libreville.

Après le dépôt de ma candidature à la CENAP, j'ai entrepris, à l'invitation des centaines de comités de soutien qui ont spontanément pris l'initiative d'accompagner ma démarche, d'aller confirmer ma candidature à travers différentes localités du pays. Je me suis rendu à Port-Gentil le 25 juillet 2009, puis à Makokou le 29 juillet 2009 et Mouila le 30 juillet dernier.

Ce mardi 04 août 2009, j'étais attendu par les populations de la Nyanga. Devant les agissements intolérables du Gouvernement qui n'a ménagé aucun effort pour m'empêcher de m'exprimer depuis mon retour au Gabon et pour éviter de créer un climat social qui mettrait en péril la transition démocratique que j'appelle de mes vœux, j'ai renoncé à me rendre à Tchibanga aujourd'hui.

Pour mieux comprendre ma décision, je voudrais rappeler à l'opinion et l'informer des agissements plus que discutables des services de l'Etat agissant sur les instructions du Gouvernement:

• A mon arrivée à Libreville, l'accès de l'aéroport a été interdit à la Presse et aux Gabonais venus m'accueillir par les forces de sécurité. La police avait reçu l'ordre d'interdire toute déclaration d'André M'ba Obame à la Presse. Le même jour, trois citoyens français, faisant partie de mon staff de campagne, qui étaient arrivés à Libreville par le même vol que moi, se sont vu interdire l'entrée sur le territoire gabonais

• A l'occasion de mon séjour à Makokou, tout a été mis en œuvre pour empêcher la tenue de la rencontre qui était prévue avec les populations. La salle municipale qui avait été louée et payée à cet effet - nous en détenons encore le reçu- a été retirée au comité d'organisation. C'est finalement dans la cour d'un compatriote que nous avons pu organiser cette rencontre. La ville de Makokou ressemblait à une localité en état de siège. Les forces de sécurité et de défense avaient quadrillé toute la ville pour dissuader les populations d’assister à cette rencontre.

• A Mouila, l'organisation de ma visite a été confrontée aux mêmes difficultés qu'à Makokou et un des responsables de l’organisation a passé la nuit qui a suivi mon passage dans les geôles de la police de Mouila.

• Aujourd'hui à Tchibanga, l'escalade s'est poursuivie. Toutes les salles de la ville nous ont été refusées par les autorités locales. Et c'est le petit-fils de feu le Général Boulingui qui a pris la courageuse responsabilité de me recevoir chez lui pour permettre d'échanger avec nos compatriotes de la Nyanga. Le responsable de l'organisation de ma visite a été entendu pendant plus de deux heures par les agents du 2ème bureau - le B2. Et les émetteurs de TV+, qui devaient assurer la retransmission de mon séjour à Tchibanga, ont été mis hors service par Gabon Télécom qui en assure la gestion locale.

Toutes ces manœuvres sont inadmissibles dans un pays démocratique. Et j'affirme ici que le Gabon, au matin du 08 juin 2009, était une démocratie. Je souhaite qu'il continue à en être ainsi.

De vous à moi, si les manœuvres du gouvernement se limitaient à ce que je viens de vous décrire, je me serais rendu à Tchibanga, comme je me suis rendu à Port-Gentil, à Makokou et à Mouila.

Mais c'est parce qu'il me revient que ce que visent réellement mes adversaires c'est l'annulation de ma candidature par des procédés dilatoires, que j'ai entrepris de mettre définitivement un terme à ma tournée citoyenne.


Des huissiers ont été envoyés à Tchibanga pour constater que j'organisais une manifestation politique à Tchibanga, de sorte que ce constat puisse être utilisé pour saisir la Cour Constitutionnelle et obtenir l'annulation de ma candidature. Comme ancien Ministre de l'Intérieur vous vous doutez bien que je serai le dernier à méconnaître les dispositions de la loi électorale. Mais, lorsque j'observe les agissements de ceux qui veulent le pouvoir à tout prix, je me méfie même quand je sais que je suis dans mon bon droit.

Je devais me rendre à Tchibanga aujourd'hui, demain mercredi à Koulamoutou, puis jeudi à Lambaréné pour finir avec Oyem et Franceville. Avec regret j'ai donc pris la décision d'arrêter ma tournée citoyenne pour ne pas offrir l'occasion à mes adversaires d'affecter un peu plus, comme ils le font depuis plusieurs semaines, la plupart des institutions démocratiques de notre pays.

Ce qui se prépare depuis plusieurs jours et qui est grave, c'est la tentative d'élimination de la candidature d'André Mba Obame. Et ce par tous les moyens possibles.

Mais comme je l'ai dit à chacune de mes déclarations depuis l'annonce de ma candidature, j'irais jusqu'au bout de ma démarche. Je l'ai dit à Port-Gentil, je l'ai dit à Makokou, je l'ai dit Mouila et je vous le redis ici aujourd'hui :

Quels que soient les circonstances, les obstacles ou les intimidations dont je pourrais faire l'objet, je ne renoncerais pas !

Le Gouvernement prétend agir au nom de la loi et au motif que mes déplacements et mes interventions constitueraient des actes de campagne électorale. Lorsque je lis le journal l'Union et la teneur des communiqués qui y sont publiés, lorsque j'écoute et que je regarde les chaînes publiques de radio et de télévision, je me demande vraiment qui est en campagne électorale. Je me demande et tous les Gabonais se demandent si c'est Mba Obame qui réquisitionne les salles de réunion des Ministères pour organiser des réunions politiques clairement indiquées comme participant de la campagne pour l'élection présidentielle du 30 août 2009. Lisez le journal l'Union de ce jour et vous constaterez par vous-même.

Le Gabon est un état de droit et j'entends que force reste à la loi. Dès demain matin, je vais engager une équipe d'huissiers de justice qui iront constater les violations flagrantes du code électoral par les uns et les autres et par le Gouvernement ; parce que de vous à moi, les tournées à travers le pays, spontanément organisées par le premier Ministre à un moment où l'urgence est l'organisation d'une élection capitale pour l'avenir du pays ne trompent personne. Pas même le Premier Ministre lui-même.

Mais en réalité, le véritable huissier qui sera amené à constater et à relever les différentes violations de la loi ainsi que les abus de pouvoir du gouvernement c'est le peuple souverain. Et j'invite le peuple à sanctionner durement les contrevenants le 30 août prochain, car c'est à lui que reviendra la décision finale.

J'ai toujours dit qu'en 1990, lorsque le Président Omar Bongo Ondimba a pris la décision du retour au multipartisme dans notre pays, tous les acteurs politiques n'étaient pas d'accord avec lui. Loin de là. Aujourd'hui les masques tombent. Deux mois après le décès du Président Bongo Ondimba, notre pays a connu une régression démocratique jamais connue jusqu'à ce jour. Même aux plus tristes moments du monopartisme, jamais notre pays n'avait connu cela.

Que ceux qui veulent continuer à faire campagne impunément avec les moyens de l'État continuent. Ils disposent des médias d'État, de la force et même de la justice. Le 30 août prochain, le peuple mettra un terme à tout cela et ils le savent.

Un pouvoir qui a peur utilise toujours la violence pour passer en force. C'est ce à quoi nous sommes en train d'assister au Gabon depuis quelques semaines. La défaite est évidente et la peur se ressent dans les agissements du Gouvernement.

Mais que les auteurs de ces actes qui déshonorent notre pays et compromettent son avenir sachent que le monde a changé. Avec la globalisation, la communauté internationale s'est dotée d'un instrument juridique qui protège les peuples et sanctionne où qu'ils aillent les hommes politiques qui agissent contre leurs peuples. Le Tribunal Pénal international est une réalité à laquelle j'invite tout le monde à se souvenir lorsqu'il pose des actes.
A tous et surtout au Peuple gabonais je finirai avec cette citation de Gandhi :

"A l'instant où l'esclave décide qu'il ne sera plus esclave, ses chaînes tombent."
Publié le 05-08-2009    Source : Gaboneco.com     Auteur : Gaboneco  
 


 
 
posté le 05-08-2009 à 14:42:06

Quand les incendiaires crient au feu...Devoir de Mémoire Mr MBA OBAME, en Homme politique sincère, s'il vous plait!

L’ancien ministre de l’Intérieur gabonais André Mba Obame, un des principaux candidats à l’élection présidentielle du 30 août, a affirmé hier être victime "d’agissements intolérables" du gouvernement et prévenu contre toute tentative de "coup de force".

"On a franchi la ligne rouge. Il y a des agissements intolérables (...), des manœuvres inadmissibles du gouvernement (...). Ce que cherchent mes concurrents c’est l’annulation de ma candidature. Je ne suis pas homme à renoncer", a affirmé l’ancien ministre lors d’une conférence de presse à son quartier général de Libreville.

Selon lui, le gouvernement a empêché un rassemblement de ses partisans à Libreville, a interdit l’entrée du Gabon à trois conseillers français de son équipe de campagne et a emprisonné un de ses collaborateurs pendant une nuit. Ses tournées dans des villes de l’intérieur du Gabon ont été accompagnées d’un déploiement policier destiné à faire renoncer à ses partisans de se regrouper, assure l’ex-ministre qui ajoute qu’on l’a empêché d’utiliser des salles municipales dans plusieurs villes. M. Mba Obame a précisé qu’il craignait qu’on invalide sa candidature en l’accusant de précéder le début officiel de la campagne électorale le 15 août. "Pour toutes ces raisons", il a annoncé qu’il suspendait jusqu’à cette date sa "tournée citoyenne" dans le pays. http://www.lesoleil.sn/

 


 
 
posté le 28-07-2009 à 13:04:18

L’UFPDG et les femmes des partis alliés interpellent Ali Bongo Ondimba sur leurs préoccupations majeures

Libreville, 26 juillet (GABONEWS) – Les militantes et sympathisantes du Parti démocratique (PDG, au pouvoir) et celles des partis aliés, qui ont eu un échange, ce dimanche à la Cité de la démocratie de Libreville, avec le candidat de cette formation à la présidentielle anticipée du 30 août 2009, Ali Bongo Ondimba, l’ont interpellé sur leurs préoccupations notamment la protection, la promotion et l’épanouissement de la Femme gabonaise, à travers l’équité des sexes, l’éducation et la santé, la création d’emplois.

 

A l’entame de cette rencontre, la présidente de l’Union des femmes du Parti démocratique Gabonais (UFPDG), Angélique Ngoma, a précisé qu’Ali Bongo Ondimba représentait pour elles « le candidat de l’espoir ».

La « femme gabonaise est à la croisée des chemins », a-t-elle déclaré avant d’ajouter que « nous espérons qu’avec votre avènement, à la magistrature suprême, nos préoccupations trouveront des solutions idoines ».

Préoccupations qui, selon ces nombreuses femmes qui se sont données rendez-vous en masse à la Cité de la démocratie, se résument en la protection, la promotion et l’épanouissement de la Femme gabonaise, à travers l’équité des sexes, l’éducation et la santé, la création d’emplois et une meilleure redistribution du revenu national.

Pour répondre, Ali Bongo Ondimba qui rappelle qu’à la tête du ministère de la Défense, il a pu relever le nombre de femmes intégrées dans ce corps à plus de 13%, a indiqué que s’il était élu, il en ferait certainement mieux et dans tous les autres secteurs d’activités dans le pays, sans toutefois omettre de situer la récompense du mérite et de l’effort.

Mettant l’éducation de la femme comme l’un des piliers de son programme de société, le candidat du PDG a souligné qu’il « n’y a pas de nation au monde qui n’ait pas inscrit l’éducation de a femme au centre de ses préoccupations ».
Ainsi, a-t-il soutenu, « nous ferons de l’éducation de la jeune fille l’une de nos priorités ». « Plus jamais, la fille gabonaise ne doit rester analphabète », a-t-il lancé.

Dans le même sillage, celui qu’on appelle ‘’ABO’’ a appuyé qu’il compte par ailleurs promouvoir avec force et énergie le secteur des affaires tout en fustigeant le fait que « tous les Gabonais veuillent être des fonctionnaires ».

Il a incité tous et chacun à intégrer le monde des affaires, générateur des revenus. « Il faut que les Gabonais acceptent tous les métiers générateurs de revenus », a-t-il souhaité avant de déclarer que « j’avoue que vous êtes malheureusement mal soutenues ».

Le fils aîné du président Bongo Ondimba, investi il y a une semaine par le parti au pouvoir, qui brigue, contre 22 autres candidats, la magistrature suprême après le mort de son défunt père, le 8 juin dernier à Barcelone en Espagne, a formelle pris l’engagement de tenir ses promesses, une fois les urnes l’auront porté, le soir du 30 août prochain au fauteuil de président de la République.

« Je m’engage, si vous m’accordez vos suffrages, à vous protéger, à garantir vos droits, en vous octroyant les places qui sont les vôtres dans notre société », a lancé le porte-étendard du Parti Démocratique Gabonais devant une foule de militants et de sympathisants dans une euphorie totale.

GN/DCD/09

 
 
Article Publié le:   26/07/2009  à:   20:45:35  Par: Désiré Clitandre DZONTEU (Gabonews.ga)
 


 
 
 

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Je vote ALI. C'est le MEILLEUR. C'est le SEUL qui ne MENT PAS au peuple gabonais et qui ne pense pas à son VENTRE!